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[PORTRAIT] Maxime Sagnier : multi-casquettes

12 septembre 2022
maxime sagnier

Titulaire d’un Master Recherche, Maxime Sagnier est multi-casquettes : chef des opérations, chef de projet BIM, il nous explique en quoi consiste ses différentes missions.

  • Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à vous tourner vers ce travail ? Et quelles sont les motivations qui vous animent, encore aujourd'hui, au quotidien, dans votre pratique professionnelle ?

J’ai toujours été attiré par le numérique, c’est pourquoi, lors de mes études au Canada en Master Recherche, j’ai réalisé mon mémoire sur le BIM, ce qui était tout à fait nouveau à l’époque. Dans le secteur du bâtiment, le BIM consiste à travailler avec notamment des
plans en 3D, qui permettent une vision très globale et précise. Après mes études, je souhaitais vraiment intégrer une entreprise à taille humaine. J’ai très rapidement trouvé mon premier poste, chez Im-pact, chez qui je suis encore aujourd’hui. Mes missions ayant
évolués depuis, mes motivations ont évolué également : plus de responsabilités, des missions plus diversifiées…

  • En quelques phrases, pouvez-vous décrire vos missions ? Ces missions ont elles évolué entre le moment où vous avez débuté et maintenant ?

Au début, mon poste était consacré surtout à de la technique, alors qu’aujourd’hui, je suis multi-casquettes. En tant que responsable des opérations, je manage les équipes, j’assure la bonne mise en oeuvre des projets, la coordination et le suivi des projets. En tant que chef
de projet BIM, je réalise le suivi de chaque projet de A à Z, en apportant des corrections aux maquettes réalisées.

  • Nous sommes dans un monde en perpétuelle transformation : innovation technologique et numérique, savoir scientifique, mais aussi avec une conscience accrue des enjeux environnementaux et sanitaires qui nous dépassent parfois... Ce contexte de transformation et de questionnement a-t’il un impact sur votre métier ? Comment voyez-vous votre métier dans quelques années ?

C’est vraiment l’essor du numérique qui a rendu possible ces nouveaux métiers en lien avec le BIM, et ce sont des outils qui nous permettent d’être cohérents avec une vision globale d’un projet.

  •  Pour vous, quelles sont les qualités essentielles pour pouvoir exercer ce travail ?

Quelles sont les points forts que vous aviez déjà en démarrant, et éventuellement ceux que vous avez su développer durant votre carrière ? Pour le BIM, il n’est pas utile d’avoir de formation extrêmement poussée. Il suffit de venir du bâtiment pour pouvoir raisonner et intégrer le BIM. Par-contre il est vraiment essentiel de savoir se montrer pédagogue, et de s’adapter aux différents partenaires avec qui nous
travaillons.

  • Un mot pour conclure ?

Ce qui est vraiment génial avec les filières du bâtiment, c’est que l’on peut évoluer en naviguant entre différentes filières !


Pour résumer :
C’est un goût prononcé pour le numérique qui a principalement attiré Maxime vers le BIM (Building Information Modeling), c’est-à-dire les technologies de maquettage 3D. Il a trouvé son premier post très rapidement après ses études, en MASTER Recherche,
chez Impact, une entreprise à taille humaine. Depuis, l’entreprise a évolué et les responsabilités de Maxime se sont diversifiées.
En tant que responsable des opérations, il manage les équipes et assure la bonne mise en oeuvre des projets. Il prend beaucoup de plaisir dans le développement de nouveaux outils.
Pour lui, pas de routine : chaque mission et chaque équipe est totalement différente ! Selon Maxime, s’il suffit de venir du monde du bâtiment pour exercer dans le BIM, il faut posséder de vraies qualités relationnelles et savoir se montrer pédagogue au sein des
équipes. Les nombreuses passerelles dans le BTP rendent possibles des carrières uniques et très riches.